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Colin Chapman

Chef d’écurie – ingénieur

Pendant deux bonnes décennies, Lotus et Ferrari se sont partagé l’essentiel des victoires en Formule 1. Cet affrontement fut d’autant plus passionnant qu’il était difficile de trouver plus opposé qu’Enzo Ferrari et Colin Chapman.
Si l’un préférait se cacher et déléguer, l’autre était un homme de terrain omniprésent et ouvert, ayant pour habitude de jeter sa casquette en l’air à chaque victoire. Pour l’Ingénieur, le moteur constituait l’essentiel d’une voiture et la puissance de celui-ci devait suffire à masquer les faiblesses du châssis et de l’aérodynamique. Chapman était un authentique ingénieur, capable de concevoir et de construire de ses mains sa première voiture, une « boîte à sucre » sur base d’Austin Seven destinées aux trials. C’était en 1948. Il renonçât plus tard à piloter ses propres voitures, en dépit d’un talent certain.

 

 

Toujours une saison d’avance

                                           

Comme son homologue italien, Chapman construira des sportives et le succès commercial de l’Elan fera de lui un milliardaire. Cet homme d’une intelligence supérieure, également impliqué dans la conception de bateaux et d’avions, s’imposa en Formule 1 grâce à ses idées novatrices qu’il griffonnait parfois sur une nappe de restaurant avant de les développer. Usant de son charme pour tirer le maximum de ses collaborateurs, Chapman était toujours en avance sur les autres, cherchant inlassablement le gros plus permettant de faire la différence. On l’a décrit comme un inventeur génial. Souvent d’autres avaient déjà travaillé sur les mêmes idées (par exemple Chaparral pour les ailerons et l’effet de sol) mais Lotus n’avait pas son pareil pour imposer de nouvelles techniques, obligeant les autres à suivre.


Parfois, Chapman est allé trop loin, beaucoup d’accidents eurent lieu en raison d’un manque de fiabilité et comme Ferrari, il fut mis à l’index. La mort de Jim Clark, avec lequel il avait noué des relations de complicité sans doute uniques dans l’histoire de la course, fut le pire moment de sa carrière bien qu’il n’en fut point responsable. Durant l’année 1982, Chapman conçu la révolutionnaire Lotus 88. Cette voiture possédait deux châssis, l’un placé au-dessus de l’autre, dans le but de forcer le châssis supérieur sur celui du dessous par des charges aérodynamiques et sans influer sur le châssis inférieur. Le problème était que cette voiture était par trop déroutante et elle fut interdite dès son apparition au premier Grand Prix de la saison.

Qu’à cela ne tienne, Chapman réintroduisit la voiture trois mois plus tard au Grand Prix d’Angleterre. Paradoxalement, cette fois la voiture fut légalisée le mercredi, les deux Lotus 88 étant autorisées à s’entraîner le jeudi. Puis la FIA annula la décision des organisateurs – le RAC – et décida que ces voitures étaient illégales.

Ceci donna très peu de temps à Lotus pour reconvertir ses voitures. Elio de Angelis réalisa une performance honorable mais Nigel Mansell ne se qualifia pas pour son Grand Prix national.                                             

 

Le père de Lotus a été emporté par une crise cardiaque, une nuit de décembre 1982, et à voir à quel point toutes les F1 se ressemblent aujourd’hui, peut-être est-il parti à temps… 

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